Protocole
Afin d'être fidèle à la réalité, nous devons tenir compte de ces contraintes :
- Travailler avec les particules (en l'occurrence le photon, qui constitue la lumière) n'est pas évident, puisqu'il existe des parasites.
Afin de les limiter dans notre expérience, il faut manipuler un maximum dans le noir, et isoler l'ensemble du dispositif.
- Il est impératif de trouver un système permettant d'avoir la certitude que le signal reçu est bien celui attendu, et non un parasite.
- Il faut également pouvoir faire varier le niveau de l'eau sur le montage, sans le démonter.
Ces différentes contraintes nous ont ammenés à réaliser le montage suivant :
| Vue globale de l'expérience |
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Il y a trois éléments majeurs mis en place dans ce montage.
Le premier d'entre eux est le modèle à proprement parler.
| Le modèle |
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| C'est ici qu'est simulé le phénomène. Pour connaître la composition de cet assemblage et le rôle de chacun des composants, cliquez ici ! |
Ensuite viennent les alimentations.
| Les alimentations |
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| Ces deux alimentations à haute tension permettent d'alimenter les deux photomultiplicateurs, de 0 à 1500 Volts. Sur la photo, l'alimentation du haut alimente le photomultiplicateur mesurant l'atténuation. Tandis que celle du bas est liée au photomultiplicateur témoin. |
Enfin, l'oscilloscope permet d'afficher les mesures.
| L'oscilloscope |
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| L'oscilloscope traduit les mesures des photomultiplicateurs en un signal lumineux visible sur l'écran. C'est cet appareil qui nous permet d'obtenir des résultats concrets. |
